CONSEILS SECURITE

Conduire en hiver
L'arrivée de la neige ne doit pas limiter le conducteur au montage de pneus d'hiver, encore faut-il savoir se déplacer en toute sécurité pour soi comme pour les autres usagers de la route.

PREMIERS SECOURS
Les 4 étapes pour porter secours
- Sécurisez le lieu de l'accident et les personnes impliquées.
- Appréciez l'état de la victime.
- Demandez de l'aide.
- Effectuez les gestes de premiers secours.

1 / Étouffement : la manœuvre de Heimlich
Lorsqu’un aliment ou un objet se retrouve dans les voies respiratoires, on parle de "fausse route". Souvent bénigne, elle peut devenir une urgence vitale lorsqu’elle bloque la respiration. Que faire ? En premier lieu, donnez 5 tapes assez vigoureuses entre les omoplates de la victime. Ensuite, mettez-vous derrière elle, entourez sa taille avec vos bras et placez une main en poing entre son nombril et son sternum, l’autre main par-dessus la première. Effectuez une compression en ramenant vos mains vers vous, tout en remontant sous le sternum. Répétez 5 fois. Alternez les deux étapes jusqu’à l’arrivée des secours.

2/ Évanouissement : la position latérale de sécurité (PLS)
En cas de perte de connaissance, ce geste simple permet d'ouvrir les voies aériennes supérieures et de prévenir d'éventuelles complications.
En cas de perte de connaissance, ce geste simple permet d'ouvrir les voies aériennes supérieures et de prévenir d'éventuelles complications.
Que faire ? Après avoir vérifié que la victime respire, saisissez son bras droit et amenez-le à angle droit par rapport à son corps. Pliez ensuite son avant-bras à angle droit. Collez les jambes de la victime puis saisissez sa main gauche et amenez-la contre sa joue droite. Fléchissez le genou gauche ; en appuyant dessus, basculez la victime sur le côté. Ouvrez sa bouche et vérifiez régulièrement sa respiration en mettant votre main sur son ventre.
Attention ! Il est essentiel de coller la main de la victime à sa joue pour prévenir d'éventuelles lésions de la colonne vertébrale.

3 / Saignement : la compression
On doit s'inquiéter lorsque le sang gicle et/ou lorsque la perte de sang est continue. Il est alors recommandé de comprimer la plaie pour contrôler l'hémorragie.
Que faire ? Allongez la victime, dégagez la blessure et appuyez fermement sur la plaie.
Si le saignement persiste, mettez en place un garrot au-dessus de la plaie en utilisant (par exemple) une cravate ou une ceinture : faites un nœud, puis glissez un stylo sous le garrot et faites-le tourner pour serrer davantage.
Surveillez l'apparition de signes d’aggravation (sueur abondante, sensation de froid, pâleur intense...) jusqu'à l'arrivée des secours.

4 / Arrêt cardiaque : le massage
Face à une personne inconsciente qui ne respire pas (son ventre ne se soulève plus), ce geste permet de protéger l'oxygénation des organes vitaux.
Que faire ?
Placez la victime sur le dos, mettez-vous à genoux à ses côtés, et posez le talon de votre main gauche au milieu de sa poitrine nue.
Placez ensuite le talon de votre main droite sur votre main gauche.
Effectuez des compressions sans cesse jusqu'à l'arrivée des secours, à raison d'environ 2 compressions par seconde (sur le rythme de Staying alive).
Face à une personne inconsciente qui ne respire pas (son ventre ne se soulève plus), ce geste permet de protéger l'oxygénation des organes vitaux.
Que faire ?
Placez la victime sur le dos, mettez-vous à genoux à ses côtés, et posez le talon de votre main gauche au milieu de sa poitrine nue.
Placez ensuite le talon de votre main droite sur votre main gauche.
Effectuez des compressions sans cesse jusqu'à l'arrivée des secours, à raison d'environ 2 compressions par seconde (sur le rythme de Staying alive).
Après chaque compression, attendez que la poitrine reprenne sa position initiale.

5 / Brûlure : la règle des 3 x 20
Même légère, une brûlure n'est jamais anodine. Afin d'éviter des complications, il est essentiel de refroidir la zone pour empêcher la progression de la lésion vers les tissus profonds.
Que faire ? Si la brûlure est peu étendue (c'est-à-dire : plus petite qu'une pièce de 2 euros), enlevez immédiatement les vêtements et placez la plaie sous un jet d'eau tiède (20°C), à environ 20 cm du robinet, pendant au minimum 20 minutes. Si la brûlure est étendue et/ou qu'elle atteint le visage, il est impératif d'appeler les secours.
Devenez acteur : Initiez-vous aux premiers secours

Véhicules prioritaires
Tout véhicule devant se déplacer plus rapidement dans le cadre d’une intervention d’urgence. Ils sont équipés de gyrophares bleus et de sirènes à deux temps afin que les autres véhicules puissent s'adapter et faciliter leur passage en toute sécurité. Ils n’ont pas obligation de respecter le code de la route. Les transports appartenant à la catégorie des véhicules prioritaires regroupent :
- Les véhicules de Police nationale ou municipale
- Les véhicules de la Gendarmerie nationale
- Les automobiles escortées par la Police ou la Gendarmerie
- Les transports relatifs aux douanes
- Les transports rattachés au transfert de détenus
- Les camions de sapeurs-pompiers
- Les ambulances dédiées aux unités mobiles hospitalières

Véhicules d’intérêt général disposant de facilités de passage.
Même s’ils ne sont pas considérés à proprement dit comme des véhicules prioritaires et qu’aucun texte de loi ne stipule que les automobilistes doivent appliquer les règles de priorité, on a tout de même tendance à faciliter le passage des véhicules suivants :
- Les ambulances privées
- Les véhicules de transports d’organes humains et de produits sanguins
- Les véhicules de transports de fonds
- Les engins de salage en hiver
- Les véhicules d’intervention électrique

Consignes générales pour motocyclistes
• Adaptez votre conduite aux conditions météorologiques et de la route.
• Augmentez le temps de préparation au freinage.
• Ne vous fiez pas à votre priorité.
• Attendez-vous toujours à des erreurs d’autres usagers de la route.
• Faites attention aux croisements et embouchures ainsi qu’aux sorties de parking et de garages.
• Contrôlez tous les aspects techniques de votre moto (niveau d’huile, freins, pneus, etc.) avant de repartir pour la nouvelle sortie.
• Restez à droite dans les virages ; un véhicule peut couper le virage sur la voie opposée.
• En cas de ralentissement du trafic, ne dépassez pas les files de voitures à l’aveuglette.
• Ne dépassez pas dans les embouteillages sur l’autoroute.
• Faites attention aux marquages au sol ainsi que sur les grilles d’égouts qui peuvent être glissants.

Randonnées en groupe
La randonnée en groupe comporte quelques risques supplémentaires par rapport à des sorties individuelles et requiert par conséquent certaines mesures de précaution supplémentaires de la part de tous les membres du groupe :
Le tour-guide :
• Toute sortie en groupe est menée par le tour-guide, qui prend les commandes et qui ne doit pas être dépassé.• Le tour-guide est responsable de la randonnée (tracé, vitesse, arrêts).
• Le conducteur avec la moindre expérience ou le motocycliste le plus faible roule en deuxième place derrière le tour-guide.
• Des arrêts ainsi que les manœuvres de demi-tours sont entrepris par le tour-guide qu’aux endroits où il y a assez de place pour l’ensemble du groupe, sans gêner le trafic.
Le conducteur de fin de queue :
• Le conducteur de fin de queue roule en dernière position.
• Il ne dépasse jamais un membre du groupe.
• Il ne devrait pas être le plus lent du groupe et avoir une certaine expérience.
• Comme le tour-guide, il connaît le trajet, les arrêts et la destination.
Les membres du groupe :
• Chaque membre du groupe conduit selon son niveau d’expérience.
• Si la vitesse est trop importante, si vous vous sentez sous pression, informez le tour-guide.
• Sur les tronçons de route droite, la conduite se fait de manière décalée et généralement avec suffisamment de distance de sécurité, sans créer trop de distance.
• Il ne faut pas dépasser à l’intérieur du groupe pendant le trajet.
• Chacun attend le conducteur derrière lui s’il a perdu le contact avec le groupe.
• L’action de doubler doit se faire de manière rapide et après le dépassement, roulez tout de suite à droite pour dégager la voie pour d’autres motocyclistes qui dépassent.
• Chacun est responsable de sa propre conduite.
• Signalez à temps tout changement de direction et, tout comme pour les traversées d’agglomérations, réduisez la vitesse à temps.
• Resserrez les rangs à l’intérieur des localités.
• Arrêtez-vous côte à côte aux croisements, feux et stops.
• Laissez des espaces quand le groupe a été séparé par des voitures.
En cas d’urgence :
• Arrêtez-vous sans gêner le trafic.
• Chacun s’arrête avec quelques mètres de distance de celui qui le précède du côté droit de la chaussée.
Seulement un membre du groupe fait demi-tour.

Conseils à l’attention des usagers de la route
• Faites attention aux silhouettes fines des motos et bicyclettes.
• Ne sous-estimez pas l’accélération et la vitesse des motos.
• En plus du regard dans le rétroviseur, tournez aussi la tête et regardez par-dessus vos épaules en cas de changement de voie.
• Évitez des changements de voies brusques et frénétiques.
• Adoptez une conduite préventive, notamment aux abords des écoles et de zones d’habitation.
• Gardez une distance de 1,5m par rapport aux cyclistes.
• Faites attention lorsque vous tournez à droite ou lorsque vous croisez une piste cyclable.
• Veillez à la présence de cyclistes dans votre angle mort.
• Ne stationnez pas sur les pistes cyclables.
• Regardez par-dessus votre épaule avant d’ouvrir la porte de votre voiture.
• Ne sous-estimez pas l’accélération et la vitesse des motos.
• En plus du regard dans le rétroviseur, tournez aussi la tête et regardez par-dessus vos épaules en cas de changement de voie.
• Évitez des changements de voies brusques et frénétiques.
• Adoptez une conduite préventive, notamment aux abords des écoles et de zones d’habitation.
• Gardez une distance de 1,5m par rapport aux cyclistes.
• Faites attention lorsque vous tournez à droite ou lorsque vous croisez une piste cyclable.
• Veillez à la présence de cyclistes dans votre angle mort.
• Ne stationnez pas sur les pistes cyclables.
• Regardez par-dessus votre épaule avant d’ouvrir la porte de votre voiture.

Déplacements en voiture
Avant le départ :
• Vérifiez que vous avez tous les documents nécessaires (papiers d’identité, permis de conduire, etc.).
• Contrôlez régulièrement l’état technique de votre véhicule pour détecter d’éventuels risques de panne.
• Planifiez votre itinéraire.

Pendant le déplacement :
• Partez reposé(e) et faites des pauses toutes les deux heures.
• N’oubliez pas de vous désaltérer, optez pour des repas légers et suivez les informations trafic.
• Adaptez votre conduite aux conditions météorologiques.
• N’hésitez pas à vous arrêter au bord de la route si vous vous sentez dépassé(e) par une situation.
• En cas de panne ou d’accident, dégagez si possible la route en déplaçant les véhicules, signalez l’emplacement des véhicules au moyen des feux de détresse et du triangle de sécurité, enfilez les vestes de sécurité, descendez du véhicule du côté de l’accotement et mettez-vous et les vôtres en sécurité.

Poids lourds
Les
poids lourds font partie des usagers les plus encombrants et les plus
volumineux qu’un conducteur peut rencontrer sur la route, et une
interdiction de dépasser un poids lourd peut même être signalée par des
panneaux.
Étant difficiles à doubler, les automobilistes doivent faire
preuve de prudence lorsqu’ils s’engagent dans cette manœuvre.

Véhicules lents, encombrants, et convois exceptionnels
Les automobilistes doivent faire preuve de patience à leur égard, en raison de leur lenteur.
Aucune situation ne doit encourager un conducteur à bloquer la circulation ou créer une situation dangereuse pour autrui, que ce soit sciemment ou non.

Priorité aux bus !
Si
les autres conducteurs peuvent dépasser un bus lorsqu’il est arrêté à
côté d’une ligne discontinue, ils ne doivent pas empêcher son passage.
Il leur est également interdit de stationner sur les zones d’arrêt des
transports en commun, représentées par un marquage en zig-zag blanc ou
jaune.
Lorsqu’ils circulent dans les agglomérations, les bus sont
prioritaires, et si une automobile n’est pas autorisée à emprunter la
voie de bus, les taxis, eux, le peuvent, ainsi que certains véhicules prioritaires.

Les deux-roues motorisés
Il existe
plusieurs classes de deux-roues motorisés.
Les cyclomoteurs sont définis comme étant des véhicules à deux ou
trois-roues motorisés dont la cylindrée ne dépasse pas les 50 cm3.
Les motocyclettes
légères, quant à elles, sont des deux-roues motorisés (motos ou
scooters), dont la cylindrée ne dépasse pas les 125 cm3.
Les
automobilistes doivent absolument faire attention aux mouvements et aux
avertissements des deux-roues, qui sont capables de se
faufiler entre les voitures, ce qui peut surprendre les autres usagers.
Le port correct du casque ne se limite pas à
s’assurer de le porter en permanence sur la route. Il doit aussi être de la
bonne taille et attaché correctement pour donner la meilleure protection
possible quand c’est nécessaire.

Les Piétons
Une personne marchant à côté de son vélo est considérée comme un piéton.
Les véhicules motorisés lents (6 km/h) pour personnes à mobilité réduite entrent également dans la catégorie des piétons.
Une voiture doit toujours céder le passage à un piéton, car ce dernier est un usager vulnérable.
Bien que des zones leur soient réservées (trottoirs, passages piétons), les piétons peuvent avoir un comportement inattendu, et les automobilistes doivent faire preuve de prudence.

Accident avec piéton qui traverse au bonhomme rouge.
Lorsque
vous avez malheureusement un accident de la route avec un piéton qui a
traversé au feu bonhomme rouge (ou même en dehors d’un passage piéton
dans une aire piétonne ou une zone de rencontre), vous êtes redevable
des indemnités liées aux dommages corporels dans la plupart des cas
(sauf suicide ou faute inexcusable évoquée plus haut qu’il faudra
prouver).
Oui, le piéton est en infraction vis-à-vis de la règle de priorité pourtant vous pouvez avoir “tort” (voir ici que votre responsabilité pénale peut être engagée) puisque vous deviez anticiper sa traversée et éviter l’accident. C’est une situation paradoxale dans le Code de la route, souvent décriée mais bien réelle.
Oui, le piéton est en infraction vis-à-vis de la règle de priorité pourtant vous pouvez avoir “tort” (voir ici que votre responsabilité pénale peut être engagée) puisque vous deviez anticiper sa traversée et éviter l’accident. C’est une situation paradoxale dans le Code de la route, souvent décriée mais bien réelle.

La courtoisie au volant
Un geste de la main pour dire merci ou un sourire en remerciement à l’automobiliste qui vous cède le passage, le piéton qui laisse la priorité, etc…peuvent avoir des répercussions positives sur votre humeur et celle des personnes qui auront partagé ce bref échange.
La courtoisie au volant est un ensemble d'efforts et de respect portés aux autres.Image : .

La sonnette
Le coup de sonnette constitue une invitation à partager, un court instant, le même espace. Au même titre que le klaxon, elle peut être perçue comme une agression par des piétons et engendrer des situations conflictuelles. La sonnette est quasiment indispensable en zone urbaine fréquentée par les piétons, sur les voies vertes ou autres aménagements partagés et où chacun fait un peu ce qu’il veut, et parfois n’importe quoi. Ici, le cycliste, de par sa masse et sa vitesse, constitue un danger pour le reste des usagers et il faut bien en être conscient et être prudent.
Une technique consiste en général à approcher, ralentir un peu, et espérer que la personne prenne progressivement conscience que l'on arrive. Si ce n’est pas le cas,à défaut d’un coup de sonnette, il faut éviter l'obstacle à allure modérée et ne réserver le coup de sonnette qu'aux situations dans lesquelles quelqu’un se met à traverser sans regarder ou dans lesquelles on perçoit un risque de collision.

Klaxon
Le klaxon (avertisseur sonore) est interdit en ville.Vous pouvez l'utiliser uniquement cas de danger immédiat.Par exemple, quand un autre usager de la route ne vous a pas vu et qu'il y a un risque immédiat de collision.De jour, le klaxon (avertisseur sonore) est autorisé hors agglomération pour avertir les autres usagers de la route.Par exemple, pour signaler votre présence à l'approche d'un virage sans visibilité.De nuit, l'avertissement des autres usagers doit se faire par appel de phares.Le klaxon est interdit. Mais vous pouvez l'utiliser en cas d'absolue nécessité.L'usage abusif du klaxon est sanctionné par une amende.

Clignotant
44% des conducteurs n'utilisent pas leur clignotant pour
signaler un dépassement ou un changement de voie.
Près de 70% des conducteurs ont une mauvaise utilisation de
leur clignotant .
L’oubli du clignotant ou son mauvais usage est une pratique
d'autant plus inquiétante qu’il est le seul "outil" de communication
entre les voitures.
Il permet en effet à chaque automobiliste de
tenir compte de la trajectoire des autres et donc d'éviter un
accident.

Reconnaitre un bon pneu
Les pneus présentent sur leur flanc plusieurs mentions obligatoires.
Outre le nom du fabricant, la dimension et le nom du modèle, on retrouve la mention « DOT » (Department of Transportation).
Les quatre chiffres suivant ces trois lettres correspondent à la date de fabrication du pneu.
Les deux premiers, allant de 01 à 52, indiquent la semaine au cours de laquelle le pneu a été produit, tandis que les deux derniers font référence à l'année.
Exemple : un pneu indiquant DOT 1220 informe ainsi l'utilisateur que le pneu a été conçu la 12ème semaine de l'année 2020.

Durée de vie d’un pneu
Les manufacturiers estiment que la durée de vie habituelle d'un pneu est comprise entre 5 et 10 ans au maximum. Ce chiffre va évidemment varier pour des pneus montés sur véhicule en fonction des conditions d'utilisation ou de stockage du pneu (environnement plus ou moins humide, amplitude thermique, utilisation).

Le témoin d'usure d'un pneu
C’est un petit pavé de caoutchouc situé sur la bande roulement. On l’appelle le "tread Wear Indication TWI".
Son épaisseur limite est fixée à 1,6 mm pour des pneus été et 4mm pour un pneu hiver. Quand la bande de roulement atteint ce niveau, alors le pneu doit être remplacé.

Dépassement par la droite sur l'autoroute
Il est uniquement autorisé lorsque la circulation se fait en ligne continue.
C'est-à-dire lorsque la circulation est dense, que les voitures sont l'une derrière l'autre. Dans ce cas, le dépassement par la droite est autorisé, car il ne s'agit pas réellement d'un dépassement.

Bande d'arrêt d'urgence
L'arrêt sur la bande d’arrêt d’urgence est autorisé dans les cas suivants :
- Le conducteur est impliqué dans un accident de la circulation.
- Le véhicule est en panne et il est impossible de se rendre à la prochaine sortie ou aire de repos.
- Un chargement a été perdu ou risque de l'être.